DIALOGUES

Tu trouveras ici une cinquantaine de dialogues que j'ai imaginés à partir d'images tirées des films de la saga Harry Potter. Cette rubrique, intitulée Le Dialogue dans mon défunt blogue Lunal au pays de Serdaigle, occupait la place centrale de la page d'accueil et était l'une des plus appréciées par mes milliers de visiteurs, à tel point que, publiée une fois la semaine au tout début, elle est devenue par la suite bihebdomadaire. Amuse-toi bien !



Dudley : Qu'est-ce qui est écrit, p'pa ? Je sais pas encore lire.

Vernon : C'est écrit « Ce soir, on mange chinois avec des baguettes magiques ».

Petunia : J'en crois pas mes orteils !


Harry : Dis donc, Mimi ! T'aurais pas un tuyau pour la prochaine coupe des Maisons ?

Mimi : Un tuyau ? UN TUYAU ? Tu te moques de moi ! C'est pas parce que je me balade dans la plomberie que je suis plombier !!!

Ron : Oups !


Malefoy : Vous êtes mes deux bras droits, les gars !

Goyle : Mais tu peux pas avoir deux bras droits, Drago ! Moi, je préférerais être ton pied gauche.

Crabbe : Dommage que la cicatrice en forme d'éclair de Potter ne soit pas un éclair au chocolat...


Rogue : Si j'attrape la personne qui est en train de fouiner de l'autre côté de cet écran, elle va passer un mauvais quart d'heure.

McGonagall : Voyons, Severus ! Elle a bien le droit de regarder. C'est le blogue de LunaL. Tu sais, le râleur de Serdaigle...

Hermione, Ron et Harry (en choeur) : LunaL ne fait que défendre sa maison !


Harry : Au fait, Hagrid, elle carbure à quoi, ta moto ?

Hagrid : Eh ben ! Chaque fois que je dois l'utiliser, j'avale la veille une marmite de flageolets.

Le Mangemort derrière eux : Pouah ! On ne m'avait pas prévenu que je devrais poursuivre Harry Péteur!


Ron : Ne te retourne pas, Harry ! Gilderoy Lopette est derrière toi.

Harry : Oui, je sais ! Je sens son eau de toilette J'ai oublié de tirer la chasse.

Gilderoy : C'est de moi que vous parlez, les amis ? Bien sûr, c'est de moi ! De quoi d'autre d'intéressant pourriez-vous discuter ?


Sirius : Je suis ton parrain, Harry !

Harry : Je suis donc ton neveu !

Sirius : Non, Harry ! Tu es mon filleul !

Harry : Mais si tu es mon parrain, tu devrais être mon oncle, non ?

Sirius : Non, Harry ! Si j'étais ton oncle, je serais un oncle incarné !

Harry : Aouch !


[Dudley et sa bande de zoufs vont embêter Harry (qu'on ne voit pas sur la photo) dans un parc]

Dudley : Comme ça, Potter, je suis une tête de noeud, j'ai un pois chiche à la place du cerveau, j'ai l'âge mental d'un enfant de cinq ans ? Hein, qu'est-ce que tu réponds à ça, Potter ?

Harry : --

Dudley : Voyez, les gars ! Il est muet comme une tarte.

Harry : Une carpe, Dudley ! On dit «muet comme une carpe».

Dudley : Ah ce qu'il est nul, les gars ! C'est «muet comme une tarte» qu'on dit. T'as déjà entendu une tarte parler, Potter ?

Harry : Ouais ! Juste devant moi...


Voldemort : Oh je sens que je vais avoir une idée méchante, là ! Elle vient...elle vient...Oh qu'elle va être méchante, cette idée ! Là voilà qui vient...Ah oui ! Je sonne à la porte d'un moldu, puis je me cache et j'attends de voir la tête du type qui va constater en ouvrant qu'il n'y a personne. Ha ! Ha ! Ha ! Que je suis méchant !


Lucius Malefoy : Vous, les Weasley, quand vous allez dans une librairie, c'est pour rouquiner ?

Drago : Bien envoyé, grand-père !... Euh...père !

Ron : Heureusement que je respecte les cheveux blancs et ceux qui marchent avec une canne...

Harry : Non, Ron ! C'est pas des vrais cheveux blancs ! Il se fait teindre chez Escompte Coiffe...du côté des dames !

Hermione : En fait, son vrai prénom, c'est Lucia !

Ginny : Je sens que le vieux va mettre quelque chose dans mon chaudron...


Slughorn : Tu veux me demander quelque chose, Tom ?

Jedusor : Oui, professeur ! J'aimerais savoir ce que c'est qu'un...CROUCHCROUCH.

Slughorn : Tu dis ?

Jedusor : Un CROUCHCROUCH...Mais qu'est-ce qui m'arrive ? Je ne parviens pas à dire le mot...

Slughorn : C'est que je suis en train de falsifier mon souvenir, mon petit Tom. Ça va faire des bulles dans la pensine de Dumbledore. Ah dis donc ! «Crouchcrouch» ! Ce qu'il va se prendre la tête, le pauvre Albus!



Voldemort : T'es qu'un sale petit binoclard !

Harry : Et toi, tu pues du nez !

Voldemort : T'es qu'un...t'es qu'une face de rat !

Harry : Celui qui le dit, c'est lui qui l'est !

Voldemort : Je l'ai dit en premier. Face de rat ! Na na na...

Harry : Et enlève tes sales pattes, sinon...

Voldemort : Sinon quoi, face de rat ?

Harry : Sinon je te balance un bug de Pottermore en pleine gueule !

Voldemort : Ah non ! Pitié ! Pas un bug de Pottermore !


Hagrid : (tout bas) Comment pourrais-je bien engager la conversation ? Ah oui ! (tout haut) La dernière fois que j'ai vu une girafe, c'était au zoo de Londres, où mon père m'a emmené quand j'avais cinq ans.

Olympe : Oh ! Vous savez parler aux femmes. Moi, la dernière fois que j'ai vu un ours, je l'ai tué et je m'en suis fait une descente de lit.

Hagrid : Si je lis entre les lignes...

Olympe : Vous savez lire entre les lignes, Hagrid ? J'ignorais même que vous saviez lire...Mais non ! Je vous taquine ! Je suis sûre qu'au fond, vous êtes une bonne pâte.

Hagrid : Et vous, si je comprends bien, vous êtes le rouleau...à pâte ?

Olympe : Vous n'avez jamais si bien dit. Nous sommes faits pour nous entendre.

Hagrid : (tout bas) Dans quelle galère me suis-je encore embarqué ?


Ron : Nous, les Weasley, on n'a pas besoin de se déguiser pour Halloween. On a déjà des têtes de citrouille !

Ginny : Parle pour toi, Ron ! Avec un chandail à bandes blanches et orange, Fred et George feraient d'excellents cônes de signalisation.

Fred et George : Toi, Ginny, t'es parfaite au naturel comme princesse changée en crapaud !


(À gauche : Neville, Harry, Percy Weasley; à droite : Seamus, Fred/George, Ron)

Neville : J'ai encore perdu Trevor !

Seamus : C'était donc ça le sandwich qui goûtait le crapaud !

Harry : Vous auriez dû voir le tas de gallions que j'ai dans mon coffre chez Gringotts.

Ron : Nous, les Weasley, on est presque des pauvres.

Percy : Non, Ron ! Nous vivons simplement sans être dépensiers.

Fred/George : Eh bien ! Moi, en matière de plantes potagères, je préfère l'oseille au « Percy ».


Hermione : Dis donc, Harry, le truc sur la table, c'est pas ce que t'as commandé pour dîner, j'espère ?

Harry : Mais non, c'est mon ami Dobby, l'elfe qui parle comme les Indiens dans les vieux westerns américains.

Ron :...ou comme dans E.T.... « Dobby téléphone maison ».

Dobby : Dobby entendre les choses pas très gentilles que Harry Potter et ses amis dire sur Dobby.

Ron : C'est sûr que t'as entendu, Dobby ! T'as vu tes esgourdes ?

Hermione : Et fais-nous pas tes gros yeux, Dobby, parce que, plus gros que ça, ils vont tomber sur la table.

Harry, Ron et Hermione : On te taquine, Dobby !

Dobby : Dobby pas aimer les taquineries.

Harry, Ron et Hermione :...ET LES TAQUINERIES PAS AIMER DOBBY !


Molly : Mon petit Harry, si j'étais ta mère, je n'aurais jamais permis que tu te fasses tatouer un éclair sur le front.

Arthur : Voyons, Molly ! C'est une cicatrice qui résulte du sortilège raté de Tu-Sais-Qui quand il a tué les parents de ce pauvre enfant...

Molly : Eh bien ! Tu sais quoi, Arthur ? Si j'étais la mère de ce pauvre enfant, comme tu dis, je n'aurais jamais permis à ce Tu-Sais-Qui de lui tatouer une cicatrice sur le front.

Harry : Mme Weasley, vous êtes aussi gentille que vous êtes mal fagotée.

Molly : Mon petit Harry, si j'étais ta mère, je te collerais une baffe pour avoir dit que je suis mal fagotée, puis je t'embrasserais là où j'ai frappé pour avoir dit que je suis gentille.

La bouilloire (en arrière-plan) : Et toi, si t'en redemandes encore, je te verse l'eau bouillante directement dans le gosier, compris ? Sur ma panse, c'est pas écrit «esclave», c'est écrit «stainless»...


McGonagall : Quand avez-vous pris une douche, Weasley ?

Ron : Mais aujourd'hui, m'dame !

McGonagall : Je sens que vous mentez, Weasley ! Déjà si vous rentriez votre chemise dans votre pantalon et si vous boutonniez votre col, ça retiendrait peut-être la «chose» à l'intérieur...

Ron : Mais je vous jure, m'dame !

McGonagall : Je vous crois sur parole, Weasley. Mais que diriez-vous de prendre DEUX douches par jour? ...Aouch ! Et je ne vous ai pas demandé de m'écraser le pied deux fois si votre réponse est «oui».

Miss Teigne (en arrièrre-plan) : Moi aussi, je veux danser le cha-cha-cha. (À l'adresse de Rusard.) Mais surtout pas avec toi, vieux crouton !


Bellatrix : Dis donc, Severus, chaque fois que je te regarde un peu longtemps, j'ai l'impression que tes cheveux se déplacent tout seuls.

Rogue : Qu'est-ce que tu racontes, folingue ?

Bellatrix : T'es sûr qu'y a pas des choses qui habitent là-dessous ? Tiens ! Ç'a encore bougé, là !

Rogue : Mais tais-toi donc ! T'as encore oublié de prendre tes médocs prescrits par le psychiatre de Sainte-Mangouste ?

Bellatrix : De quoi je me mêle, môssieur le Prince qui s'est emmêlé...les baguettes ?

Rogue : Si tu continues à te moquer de moi, je te lance un sortilège terrible, dont t'as pas idée. D'ailleurs, sais-tu au moins ce que c'est une idée ?

Bellatrix : Non, mais j'ai idée que tu vas me le dire, grand ténébreux de mes deux !

Rogue : Une idée, c'est comme quand tu penses à quelque chose...

Bellatrix :..et que ça devient une idée. Bravo, mon grand ! Quel prof tu fais !


Maugrey : Paraît que ta copine Hermione est hyper douée avec le sortilège reparo...

Harry : Ouais ! Elle a réparé plusieurs fois mes lunettes.

Maugrey : Crois-tu qu'elle pourrait me le faire à moi ?

Harry : Pourquoi ? Vous ne portez pas de lunettes !

Maugrey : Pour mon œil, abruti !

Harry : Qu'est-ce qu'il a, votre œil ?

Maugrey : Non mais, c'que t'es cruche, mon garçon ! On se demande comment t'as pu décrocher le rôle-titre de cette saga...Je voudrais que mon œil droit soit pareil au gauche. La symétrie, c'est toujours un atout avec les dames.

Harry : Mais ça vous ferait deux gros yeux de poisson. Vous aimeriez pas plutôt le contraire ?

Maugrey : Le contraire de quoi ? Mon garçon, tu devras te lever de bonne heure pour devenir auror. Parce qu'un auror...

Harry :...ça se lève aux aurores, je sais !


Voldemort : Dire que nous avons trompé des millions de gens qui ont cru qu'on était des ennemis jurés...

Bellatrix :..alors qu'on est copains comme cochons.

Dumbledore : On est comme les Beatles de la magie. Trois génies et un batteur pas très talentueux qui a eu une veine de pendu de faire partie de notre groupe : le petit binoclard à ma gauche.

Harry : Hé ho ! Pas très fort comme comparaison, papy ! C'est bibi qui ai mis du beurre sur vos épinards pendant plus de dix ans.

Voldemort et Bellatrix : L'entendez-vous, ce jeune prétentieux ? Mauviette, va !

Harry : Personne ne me traite de mauviette !

Dumbledore : Hé, t'es pas dans le bon film, Harry, là !

Voldemort et Bellatrix : Tiens, l'ancêtre qui nous sort ses vieilles références «bien rétro» !

Dumbledore : (à l'adresse de Voldemort et Bellatrix) Hé, les deux fêlés, vous me lâchez ou je fais un sort à votre pitoyable arrogance ?

Voldemort et Bellatrix : Tu veux la guerre, vieux débris ?

Harry : Mais pour qui vous prenez-vous pour traiter de «débris» un vieillard sans défense ?

Dumbledore : Tout de même, Harry ! N'exagère pas !

Harry et Dumbledore : (à l'adresse de Voldemort et Bellatrix) Oui, on veut la guerre, espèces de cervelles de mollusques !

(Voix de J.K. Rowling) : Bon ! C'est fini les gamineries ? Vous la jouez, mon histoire, ou j'engage des acteurs plus compétents ?

Voldemort, Bellatrix, Dumbledore et Harry : S'cusez, madame ! On le refera plus !


Dumbledore (s'adressant à une personne hors champ): Vous m'avez bien compris ? Je vous interdis à tout jamais, sous peine de sanctions sévères, de m'appeler «Père Noël».

Chourave (à McGonagall): Qu'est-ce qu'il dit, le Père Noël ? Il ne veut pas distribuer les cadeaux, cette année ?

McGonagall : Il dit qu'il N'EST PAS le Père Noël.

Chourave : Ah oui ? Alors, qui c'est ce bonhomme au bonnet rouge et à la grande barbe blanche ?

McGonagall : Voyons, Pomona, c'est Albus.

Chourave : Mais il n'a pas du tout l'air d'un abribus.

McGonagall : Pomona, vous êtes incorrigible : vous avez encore essayé un des champignons hallucinogènes de votre serre pour en évaluer les effets...

Chourave ( à McGonagall) : Je ne vois pas de quoi vous parlez, monsieur des Pompes Funèbres. Dites, vous ne venez tout de même pas pour embaumer notre directeur, M. Dumbledore ? Je trouvais qu'il sentait un peu le moisi, ces derniers temps, mais je n'aurais jamais pensé qu'il était mort et qu'il ne le savait pas...

Dumbledore (en colère) : Madame Chourave, dans mon bureau, tout de suite !

Chourave : Vous me laissez le temps de prendre une petite laine, Père Noël, vu que votre bureau est au pôle Nord ?

McGonagall (levant les yeux au ciel) : Puissent les élèves ne jamais voir ça !


Bellatrix : Qu'est-ce que t'as à me regarder comme ça, tête de nœud ? Combien de fois je vais devoir le répéter ? AZKABAN, C'EST MON CLUB MED ! Les chaînes ? Où tu vois des chaînes, bougre d'idiot ? C'est des cordons pour sonner le service d'étage ! Ils avaient plus de satin, alors ils ont pris des chaînettes en or plaqué fer rouillé (pour faire illusion !)

Et toi, le pervers, cesse de mater mon pyjama rayé en soie, y a rien à voir !

Quoi ? Ç'a l'air d'un cachot ? Mais C'EST UN CACHOT, pauvre cloche. On voit que tu connais rien aux dernières tendances dans les cinq étoiles. Ce qui est in, c'est les imitations de cachot. Tous les accessoires hyper luxueux sont derrière les murs. Tu appuies sur un bouton, et le mur bascule. Là, je te montrerai pas mais sache, minable que tu es, qu'une chambre comme ça, c'est mille gallions la nuit !

Quoi ? J'ai sûrement mal entendu. Qui a dit : «barjot» ? Je veux bien croire que je suis plus belle que Brigitte Barjot quand elle était jeune, mais si tu veux dire «barjot» comme dans «cinglé», je te mets tout au haut de ma liste. Là, je suis en vacances, je me repose, mais dès que je reprends le boulot, je vais te faire vivre l'enfer, espèce de ramolli du cerveau ! Tu perds rien pour attendre. T'AS COMPRIS ? SALE SANG-DE-BOURBE !


Bellatrix : Je me demande ce que ça ferait si je m'enfonçais la baguette dans l'oreille droite. Si elle ressortait encore plus noircie par l'oreille gauche, je serais peut-être enfin débarrassée de ces foutues idées noires...Une fois bien enfoncée, je pourrais aussi lui imprimer un petit mouvement de va-et-vient. Avec la courbure de la baguette, ça ferait sans doute un bon ramonage...Enfin ! Je saurais au moins si j'ai vraiment quelque chose entre les deux oreilles...


Harry : Avec les sœurs Patil, sari pas trop !

Ron : Tordant, Harry ! T'as autre chose pour mettre un peu d'ambiance ?

Harry : Oui, mais ji vé patil dire...

Ron : Arrête, Harry ! Tu me fais mourir de rire !

Harry : Je vois ça ! T'as l'air raide mort !

Parvati : Vous n'auriez pas envie de danser, les garçons ?

Ron et Harry : Pas vraiment ! Mais on pourrait jouer à la chaise musicale...

Les deux sœurs : Excellente idée ! Quand est-ce qu'on commence ?

Ron et Harry : Désolé ! C'est déjà fini !

Les deux sœurs : Quelle idée on a eu de venir au bal avec deux nuls pareils ?

Ron et Harry : Faut poser la question à votre karma !

Les deux sœurs : Vous ne savez même pas ce que c'est le karma !

Harry : Oh que si ! Le karma, c'est quelqu'un qui s'attribue tes bons coups et qui, quand t'en fais des mauvais, va cafter pour que tu sois puni...


Drago : Vous êtes mes deux gardes du corps, les gars !

Crabbe : On peut dire aussi «gorilles».

Goyle : Parle pour toi, Crabbe ! Pour le look gorille, t'es parfait ! Tu veux une banane ?

Crabbe : Ça serait pas de refus ! J'ai une petite fringale !

Drago : Bon ! Vous êtes mes gardes du corps ou mes gorilles ? Faudrait vous brancher, les gars !

Goyle : Moi, je préférerais être ton garde-fou, Drago !

Crabbe : Moi aussi !

Drago : Ouais, mais pour ça, faudrait que vous soyez habillés en blanc ! Là, vous êtes habillés en croquemorts.

Crabbe : J'aime bien croquemort ! Y a le mot «croque» dedans ! Quand est-ce qu'on mange ?


Remus : Toi, mon gars, tu vas devoir me prouver que tu n'es pas Harry Potter transformé en Harry Potter avec du polynectar !

Ginny : Mais voyons, Remus ! Tu vois bien que ce type est le Père Noël déguisé en Harry !

Remus : Hermione, ne te mêle pas de ça ! Dis-moi mon gars, tout Père Noël que tu es, réponds à ma question et vite !

Harry : Faudrait d'abord que tu me la poses, Sirius !

Remus : Qu'est-ce que je vous disais ? C'est un imposteur. Il me prend pour Dumbledore...Alors, tu réponds à ma question, sale Père Noël ? Quand ai-je cessé de croire aux loups-garous ? Hein, réponds!

Hagrid (derrière) : C'est vraiment une maison de fous, ici ! Ils ont mis des marches d'escalier au plafond! Aouch !


Molly : Père Noël, vous êtes sourd ou quoi ? Je vous avais pourtant bien dit de ne plus passer par la cheminée quand on y fait du feu...

Harry : Mais je ne suis pas le Père Noël, je suis Harry ! Ouch, ça brûle !

Molly : Faut pas nous la faire, Père Noël ! Dans le dernier dialogue, vous étiez le Père Noël déguisé en Harry. C'est Loup-Loup Berloup qui se fait appeler Romulus qui nous l'a dit.

Percy : Maman, tu veux dire Lulu Berlu qui se fait appeler Remus...

Molly (à Percy) : Ah ce que tu m'énerves quand tu reprends les gens, Tom ! Je t'ai pourtant pas élevé comme ça !

Percy : Mais je m'appelle Percy, Maman !

Molly : Un mot de plus et je te balance dans le feu avec l'autre guignol !

Harry : Qu'est-ce que je suis venu faire dans cette famille de dingues ?


Harry 1 (de dos) : Bon ! Qui parmi vous est le Père Noël ?

(De gauche à droite)

Harry 2 : Moi, je suis la fée des Glaces !

Harry 3 : Tu veux dire : la fée dégueulasse !

Harry 4 : Moi, je suis Ronald McDonald !

Harry 5 : Donc, toi, t'es la bouffe dégueulasse !

Harry 6 : Moi, je suis Ronald Weasley...pas McDonald !

Harry 7 (chantant): ...Dans mon corps de jeune fille...

Maugrey (au fond à gauche) : Qu'est-ce qui lui prend, LunaL, de nous bassiner avec son Père Noël, ces temps-ci ?

Lupin (au fond) : C'est peut-être son patronus, qui sait ?

Hagrid (au fond à droite) : Voyons, le Père Noël, un patronus ! Et Voldemort, un épouvantard ?


Rusard : Moi, je vous parie à 10 contre 1 que Dumbledore va d'abord boire le verre de lait et ensuite manger les biscuits.

Drago : Vous voulez dire quoi par «10 contre 1», m'sieur Rusard ?

Rusard : Si je gagne, je vous donne chacun 10 coups de fouet et si je perds, je vous en donne qu'un.

Drago : Pari tenu, hein les gars ?

Crabbe : Moi, je parierais pas là-dessus : j'ai déjà bu le lait et avalé les biscuits.

Goyle : Si c'est comme ça, moi je parie que Dumbledore, c'est pas le Père Noël.

Drago (à Goyle): Et c'est qui, à ton avis, le Père Noël, grand génie ?

Goyle : Ben, le Père Noël, c't'affaire !


Trelawney : Ma fille, tu dois retenir trois choses : le passé, le présent et l'avenir.

Hermione : Wow ! Et vous voyez tout ça dans les lignes de ma main ?

Trelawney : Je vois même que ton avenir est présent dans ton passé.

Hermione : Sans blague ! Si je vous comprends bien, une fois le présent passé, ne reste plus que l'avenir !

Trelawney : Je dirais même que la vie est un présent, du moins tant que ton avenir n'est pas passé.

Hermione : Bon ! Je crois que je vais y aller, là ! J'ai les lignes de la main qui me démangent !


Harry : Qu'est-ce que tu vois dans cette fichue boule de cristal ?

Ron : Un gros rapeltout ?

Harry : Non, j'veux dire : vois-tu des choses comme des événements futurs ?

Ron : Je me vois en train de perdre la boule...

Harry : Vraiment ? Tu vas devenir fou ?

Ron : Non, je perds la boule au sens propre : je l'égare et plus personne ne la retrouve.

Harry : Et qu'est-ce qu'on dit à Trelawney lors de l'interro ?

Ron : On lui dit que LunaL se moque d'elle sur son blogue. Pendant qu'elle s'en prendra à lui, on aura la paix !

LunaL (hors champ) : J'ai entendu ! Pas très sympa, les gars !


Lupin : Tu vois, Neville, ta résolution pour 2014, ça devrait être de ne plus te laisser intimider par qui que ce soit. Tu as passé l'âge d'avoir peur du méchant loup !

Neville : Ouais...le méchant loup, vous dites ?

Lupin : Et ça vaut aussi pour toi, de l'autre côté de cet écran. Tu ne dois plus te laisser intimider. N'hésite pas à dénoncer quiconque essaie de profiter de toi ou de te faire du mal.

Neville : De quoi vous parlez, Monsieur ?

Lupin : Tu ne vois pas tous ces jeunes qui sont en train de lire ce que je dis ?

Neville : Ah oui ! Ça va, vous autres ? Je vous souhaite une bonne année.

Lupin : Oui, bonne année ! Même si je serai mort depuis longtemps en 2014. Mais ma Tonks et moi, nous continuerons de veiller sur vous de là où nous serons...

Tous les élèves derrière : BONNE ANNÉE À TOUS ET À TOUTES !


Luna : Pendant que mon père prépare le prochain numéro du Chicaneur en observant les (elle dit le nom tout bas) flounes argentées qui flottent au plafond, j'aimerais te dire à quel point tu es mon meilleur ami.

Harry : Merci, Luna. Toi, tu es ma deuxième meilleure amie après Hermione! Au fait, c'est quoi, des FLOUNES ARGENTÉES ?

Luna : Pas si fort ! C'est comme des bulles de savon, mais elles sont carrées et ne sont pas faites en savon.

Harry : Et qu'est-ce qu'elles ont de particulier, ces FLOUNES ?

Luna : Elles disparaissent quand on prononce leur nom !

M. Lovegood : Bon ! Qui a encore parlé de Celles-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom ? Elles ont disparu !

Harry : (à M. Lovegood) Désolé, monsieur ! (à Luna) Mais sinon, ces « choses », qu'est-ce qu'elles font dans la vie ?

Luna : Certains disent que c'est une sorte de rapeltout, mais à l'envers. Quand tu les vois, tu oublies ce que tu étais censé te rappeler de faire.

M. Lovegood : Luna, qu'est-ce qu'on est censé faire ici, au juste ?


(Voix hors champ) : Hé, le rouquin ! Si tu veux devenir riche, c'est pas un œuf d'or qu'il te faut, c'est la poule qui les pond. Espèce de va-nu-pieds !

Ron : Qui parle ? Ose te montrer un peu...

(Voix hors champ) : Et toi, le binoclard, pas fichu de rien faire sans l'aide de tout le monde. Au fond, ta réputation repose que sur du vent !

Harry : Viens me dire ça entre quatre yeux, qui que tu sois !

(Voix hors champ) Et toi, Mademoiselle Je-Sais-Tout, qui ne sait rien d'autre que ce qu'elle lit dans les livres. Tu ne vis que par procuration, comme un vieux parchemin fripé.

Hermione : Eh bien ! Sache que j'ai appris dans les livres que tu es le plus pauvre parmi les plus pauvres, que tu n'es toi-même que du vent, que tu n'as pas de vie puisque tu es mort et que c'est pour ça que tu crèves d'envie de voir autour de toi tout ce monde ressentir ce que tu ne ressens plus. Tu fais vraiment pitié, Peeves !

Peeves : (bruit décroissant d'un ballon qui se dégonfle)

Ron et Harry : Je crois que tu lui as réglé son compte pour un bout de temps, Mademoiselle Je-Sais-Vraiment-Tout !


Harry : Bon ! La scène coquine de la saga et il fallait que ça tombe sur moi ! J'ai bien fait de garder mes lunettes, j'ai l'impression de ne pas être tout nu... C'est comme les scènes d'amour dans les films américains, où le gars et la fille restent à moitié habillés... J'espère qu'il y aura encore assez de bulles quand Mimi arrivera. Je veux bien lui montrer mon œuf, mais pas plus... J'ai hâte d'entendre :« Coupez!» En fait, non ! j'ai pas trop hâte. Et s'ils coupaient au mauvais endroit ? Ouille ! Que je suis mal à l'aise ! Dire qu'après Harry Potter, je jouerai complètement à poil au théâtre ! Même pas de bulles pour me cacher derrière ! Je préfère ne pas y penser ! Hé, LunaL ! Quelle idée tu as eu de mettre cette image ? En tout cas, moi, je le trouve pas drôle, ton dialogue ! Et c'est même pas un dialogue, j'te signale !

LunaL : Maintenant, c'est un dialogue !


Maugrey : Potter, tu devrais retirer tes lunettes si tu veux remporter le concours de beauté !

Harry : Voyons, Monsieur ! On sait déjà qui va gagner. Vous avez vu comment les gars sont accoutrés !

Cedric : Moi, en tout cas, je suis le plus beau des garçons...et de très loin ! Entre l'avorton, l'ours et moi, c'est sûr qu'on va me choisir.

Krum : Moi, mon atout, c'est de faire la gueule ! D'où je viens, les femmes aiment bien les mecs qui font la gueule. D'ailleurs, chez nous, tout le monde fait la gueule.

Fleur : C'est pas tout ça, mais avec ce froid, je vais encore perdre 10 kilos et je n'en ai pas à perdre. Déjà que je flotte dans mon maillot...

Harry, Cedric et Krum : Nous, on trouve pas ! Tu serais pas un peu anorexique, Fleur ? T'es pas maigre du tout, surtout au niveau des...

Karkarov (entre Cedric et Krum) : Suffit, les idioties ! Sinon, je vous fous tous à l'eau !


Queudver : Si j'ai bien lu la recette dans Comment fabriquer votre propre monstre d'Halloween, je dois verser dans le chaudron tout ce que je trouverai de plus dégueu dans le coin...

Harry : ...À commencer par toi, petit gros !

Queudver : La ferme, Potter ! Tu me déconcentres !

Harry : PETTIGROW EST UN PETIT GROS ! QUEUDVER A UNE...

Queudver : Ferme-la, Potter, ou je te saigne à blanc !

Harry : Saigne-toi donc toi-même !

Queudver : Merci, Potter, c'est justement ce qu'on dit dans la recette ! Je dois donner un coup de main à mon maître...jusqu'au poignet, avec le poignard que voici !

Harry : Sale rat dégueu !

Queudver : C'est «rat d'égout» qu'on dit, Potter ! Pas «rat dégueu».

Voldemort (dans le chaudron) : Bon, alors, ça vient ? Il commence à faire un peu chaud, là-dedans !


Slughorn : Tu as su, Filius, pour Ernest le Funeste ? Il est mort d'un cancer de la prostate, il y a six mois.

Flitwick : Ah oui ? Pourtant, je l'ai vu la semaine dernière et il n'avait pas du tout l'air d'un fantôme.

Slughorn : On parle bien d'Ernest le Funeste, le cousin d'Edgar le Hagard ?

Flitwick : Non, Horace ! Ernest le Funeste n'est pas cousin avec Edgar le Hagard. Tu veux sans doute parler d'Égeste l'Indigeste.

Chourave : Oh la la ! Mais où prenez-vous tous ces noms ridicules ? Comme si je m'appelais Chourave la Betterave...

Le petit Noir derrière Slughorn : Ah dis donc ! Ça ressemble drôlement aux conversations que j'entends quand je vais voir Mamie à la maison de retraite.


Dumbledore : Ah dis donc, la coiffure ! Trop cool ! Je peux toucher, Voldy ?

Voldemort : Te gêne pas, Dumby ! Ta barbichette est pas mal non plus.

Dumbledore : Il faut que tu me donnes l'adresse de ton coiffeur. Impec, la mise en plis ! C'est pas trop d'entretien ?

Voldemort : Pas du tout ! C'est une minivague garantie indéfrisable.

Harry (hors champ) : C'est pas tout, ça, mais faudrait peut-être songer à...

Dumbledore et Voldemort : Oh toi, tu restes hors champ et tu la fermes ! Tu prends déjà toute la place dans l'histoire.


Bellatrix : Tout le monde est en place pour le tango des dingos ?

Rogue : Je te reçois cinq sur dix, Laide-Actrix !

Bellatrix : Si tu te décrottais les oreilles de temps à autre, mon Rogounet, tu entendrais mieux !

Narcissa : Je ne savais pas, sœurette, que tu faisais des heures sup comme maître de ballet en plus de ta profession de peau de vache ?

Bellatrix : Taisez-vous, sinon vous n'aurez qu'à vous en prendre à vous si vous paraissez mal au bal de la Saint-Violentin organisé par le Seigneur des Ténèbres !

Narcissa : Nous t'écoutons. Nous sommes twee-twee, comme dirait Tweetie Bird !

Rogue : De quoi tu parles, Mouffette Sister ?

Narcissa : Tu ne regardes pas les dessins animés, le samedi matin, Rogogo ?

Bellatrix : Moi, je laisse tomber et je fais le serment inviolable de ne plus jamais vous faire danser ...sauf la Tarentallegra.


(Voix hors champ) Bienvenue à la présentation de la collection printemps-été de Jean-Pôl Grôcier. Sur le podium, les mannequins Dobby et Kreattur nous présentent quelques créations du maître du prêt-à-jeter. Dobby, dont le joli minois fait rêver toutes ces demoiselles, porte élégamment un torchon à vaisselle dans le style «pas lavé depuis un siècle», assorti à de jolies bottines marron qui lui donnent l'air d'un militaire qui vient de sortir indemne de l'explosion d'une mine antichar. Derrière lui, le très sympathique Kreattur, dont le sourire enjôleur suscite bien des haut-le-cœur, porte la tenue de plage qui sera à la mode cet été. Son maillot stylisé, de couleur «mal de mer», peut aussi se porter avec des boucles d'oreilles en forme de tongs...


Luna : Je ne te souhaite pas de recevoir plein de cartes de Saint-Valentin, puisque ces cartes, c'est souvent comme les amis Face-de-Bouc : tu peux en avoir des milliers et être la personne la plus seule qui soit au monde. Non ! Je te souhaite de ne recevoir qu'une seule carte venant de quelqu'un qui t'aime vraiment pour ce que tu es et non pour ce que tu parais. N'oublie pas non plus de te procurer le dernier numéro du Chicaneur et, surtout, de le tenir comme moi...si tu veux connaître l'envers du décor.


Voldemort : Avada kedavra, p...! Qu'est-ce qui marche pas ?

Harry : Il faut pas dire «p...» après le nom du sortilège, mon vieux ! T'as pas lu Le Livre des Sorts, comme dirait mon amie Hermione ?

Voldemort : Avada kedavra ! Avada kedavra ! Ça marche toujours pas.

Harry : C'est sans doute que ton duel n'est pas compté par Pottermore...

Voldemort : Qu'est-ce que tu racontes, morveux ?

Harry : Y a que le saucisson qui fonctionne et encore, quand y a pas de bug !

Voldemort : Tu essaies de me déconcentrer, binoclard ? Avada kedavra ! P... de m... !

Harry : Tu devrais pas jurer comme ça : tu vas te faire signaler par un troll !

Voldemort : Mais c'est truqué, ce truc-là !

Harry : Je ne te le fais pas dire, Voldy !


Harry : Mon ami LunaL, qui songe à mettre un terme à son blogue, m'a demandé de te présenter ma famille, ce que j'ai accepté avec joie. Comme tu l'as sans doute appris, nous avons dû disparaître parce que des gens malveillants voulaient s'en prendre à nous. Je suis peut-être surnommé «Celui-Qui-A-Vaincu-Le-Mal», mais tu dois savoir que le Mal ne sera jamais vraiment vaincu et que ma priorité sera toujours de protéger les miens. Ceci dit, je te présente, de gauche à droite, ma fille Lily, mes fils James et Albus, et ma chère femme Ginny.

Albus et James : Salut !

Ginny : Bonjour. Ravie de te connaître.

Lily : À qui tu parles, papa ?

James : Lily, t'es complètement miro ! Il va te falloir des lunettes !

Ginny : James, ne te moque pas de ta sœur ! Regarde bien de l'autre côté de l'écran, ma chérie.

Lily : Ah oui ! Je vois. Salut, toi !

Harry : Bon ! C'est pas tout, ça ! Mais faut y aller ! À une prochaine fois, peut-être. Et, même si je resterai toujours un Gryffondor, j'aimerais bien que Serdaigle gagne la coupe cette année. Ils l'ont bien méritée!

Tous : Au revoir !


Hermione : Ron, j'ai promis à LunaL de présenter aux lecteurs de son blogue notre fille Rose [à sa gauche] et notre fils Hugo [à sa droite]...

Ron : Pourquoi t'as promis ça ?

Hermione : Parce que LunaL est mon ami et que je suis fière de ma famille...

Ron : Si je me souviens bien, t'étais toujours fourrée avec lui à la bibliothèque...

Hermione : Ma foi, t'es jaloux, Ron Weasley ! Jaloux de quelqu'un qui est amoureux d'Helena Serdaigle depuis plus de 25 ans...

Rose : Moi, je trouve l'histoire du professeur LunaL tellement romantique...

Ron : Mais je ne suis pas jaloux ! Je disais ça comme ça.

Hugo : Papa, maman ! Cessez de vous disputer !

Hermione : On ne se dispute pas, mon chéri ! J'explique simplement à ton père que, parfois, il est vraiment...

Ron : Vraiment quoi ?

Hermione : Vraiment trop Weasley, si tu veux savoir !


Luna Lovegood-Scamander : On ne pouvait pas trouver meilleur poste d'observation : en plein milieu de la page d'accueil.

Rolf Scamander : J'en ai un dans mon objectif. S'il peut relever la tête du texte en dessous, je vais avoir ses yeux. Voilà ! CLIK ! Notre premier....au fait, comment allons-nous l'appeler, ma chérie ?

Luna : Je propose Blogophagus lunalii.

Rolf : «Blogophage de LunaL». Pas mal. C'est notre ami LunaL qui va être content.

Luna : Il a toujours été si bon pour moi. Il mérite qu'on nomme en son honneur ce nouvel animal fantastique.

Rolf : Hé ! Le blogophage nous fait de grands signes.

Luna : Mais oui ! Et il dit quelque chose ! Quoi ? Regarder la revue de presse à notre droite ?

Rolf : La Gazette du sorcier annonce la mort de ma grand-mère Porpentina.

Luna : Vite, transplanons chez elle. J'espère que ce ne sont pas nos jumeaux Lorcan et Lysander, qu'elle gardait, qui l'ont fait mourir d'épuisement. Fred et George Weasley étaient des anges à côté d'eux.

Rolf : Je crois qu'ils s'ennuient, les pauvres. Il leur faudrait une petite sœur.

Luna (qui sourit) : Ce n'est pas trop le moment de parler de ça, mon amour...

Rolf : Que veux-tu, ma Luna ? Tes boucles d'oreilles en radis m'ont toujours rendu dingue de toi.


Luna : Je n'ai toujours pas compris pourquoi la fille la plus canon de l'école s'est retrouvée à Serdaigle. 

Cho : Et moi, je n'ai toujours pas compris pourquoi la perle la plus méconnue de l'école s'est retrouvée à Serdaigle.

Luna et Cho (en même temps) : Tu charries pas un peu, là ?

Luna : Pourtant, Serdaigle n'est pas vantard comme Serpentard...

Cho : Et Serdaigle n'est pas non plus glorivore comme Gryffondor...

Luna : «Glorivore» ?

Cho : Ouais, c'était pour la rime. C'est LunaL qui m'a soufflé ce mot dans l'oreille. Il dit qu'il l'a inventé et que ça signifie «qui mange la gloire» ou «avide de gloire».

Cho et Luna : Que ferions-nous sans lui ? Bisous, LunaL, on t'aime beaucoup. Soigne-toi bien.

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